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Par Dr Michael Murray, médecin naturopathe
Les flavonoïdes sont des composés végétaux incroyablement bénéfiques à la santé. Parmi ces composés, la quercétine montre les effets les plus puissants, notamment dans la lutte contre le vieillissement et l’inflammation.
Les flavonoïdes sont des pigments végétaux principalement responsables de la coloration de nombreux fruits, fleurs et autres aliments. Il existe plus de 8 000 types de flavonoïdes identifiés.
Les molécules de flavonoïdes sont les principaux facteurs responsables des bienfaits pour la santé des baies, du thé vert, des extraits de plantes comme le gingko et les pépins de raisin, et des superaliments comme le chocolat noir, l’açai, les baies de goji.
Depuis que j’ai commencé à étudier la nutrition humaine à la fin des années 1970, je suis fasciné par ces composés et leurs bienfaits pour la santé. Dernièrement, de nombreuses recherches portant sur l’étude de ces composés ont été menées, notamment sur la quercétine.
Les flavonoïdes ont été appelés les « modificateurs de réponse biologique de la nature ». Ce terme signifie que les flavonoïdes peuvent modifier notre réponse biologique aux perturbateurs, notamment les inflammations, les virus et les allergènes. Et la quercétine est le « premier alpha » de tous les flavonoïdes car il s’est avéré qu’elle exerce un large éventail d’actions bénéfiques sur l’expression et la fonction des gènes humains.
Je suis fier d’avoir contribué en 1985, aux côtés de Terry Lemerond, à introduire la quercétine dans le secteur des aliments naturels en tant que complément alimentaire. Nous avons également fait la même chose pour la curcumine la même année. La quercétine et la curcumine sont devenues des produits naturels bien connus. Elles ont certaines similitudes mais davantage de différences dans la manière dont elles agissent pour favoriser une bonne santé. Leur potentiel de marché, c’est-à-dire le montant des ventes pour chaque ingrédient, devrait être à peu près le même, mais la popularité de la curcumine a largement dépassé celle de la quercétine. Mais cela pourrait être amené à changer. Je vais vous expliquer pourquoi.
Au cours des 40 dernières années, plus de 12 000 recherches scientifiques ont été menées sur les bienfaits de la curcumine pour la santé, ce qui témoigne de l’intérêt de la communauté scientifique pour la compréhension des moyens uniques par lesquels la curcumine pourrait favoriser un fonctionnement sain. La plupart des études sur la curcumine (et la quercétine) ont été « précliniques », ce qui signifie que la recherche s’est concentrée sur les mécanismes d’action et les utilisations potentielles. La recherche préclinique prépare le terrain pour les essais cliniques sur l’homme. Il y a eu environ 300 essais cliniques sur l’homme avec la curcumine.
Lorsque les chercheurs ont commencé à étudier la curcumine chez l’homme, ils ont constaté qu’elle n’était pas très bien absorbée ou, en d’autres termes, qu’elle avait une faible biodisponibilité. L’absorption étant un facteur important dans la production de bénéfices pour la santé, la poudre de curcumine ordinaire n’a pas montré les mêmes effets que ceux observés dans les études précliniques.
Lorsque j’ai introduit pour la première fois la quercétine et la curcumine sur le marché des compléments alimentaires en 1985, je savais que la biodisponibilité serait un problème, c’est pourquoi je les ai combinées avec l’enzyme bromélaïne (de l’ananas). La bromélaïne présente de nombreux avantages pour la santé, mais je l’ai associée à ces molécules mal absorbées parce qu’il existe des preuves substantielles que la bromélaïne améliore l’absorption et les concentrations tissulaires de molécules également mal absorbées.
La curcumine a lentement gagné en popularité de 1985 à 2007, jusqu’à ce que les chercheurs commencent à étudier les avantages cliniques de formes de curcumine mieux absorbées. C’est alors qu’on a assisté à une croissance exponentielle des ventes de produits à base de curcumine. Les résultats des essais cliniques sur ces formes améliorées, telles que Meriva® et Theracurmin®, étaient nettement meilleurs que ceux de la poudre de curcumine ordinaire en raison de leur meilleure absorption / biodisponibilité. Cette recherche a été le catalyseur qui a permis d’accroître la sensibilisation et la popularité de la curcumine en raison de ses bienfaits sur la santé dans son ensemble, comme l’amélioration des fonctions cérébrales et articulaires, l’amélioration de l’humeur et la réduction de l’inflammation.1-4
Les mêmes résultats peuvent être observés pour la quercétine. Comme la curcumine, la quercétine a fait l’objet de nombreuses études précliniques - plus de 6 000, soit un peu plus de la moitié du nombre d’études sur la curcumine. Et le nombre d’essais cliniques réalisés sur l’homme avec la quercétine (environ 150) représente également près de la moitié de celui de la curcumine.
De plus, comme pour la curcumine, les études réalisées sur l’homme avec la quercétine ordinaire n’ont pas été aussi positives que les études précliniques. Mais les récents essais cliniques sur des formes de quercétine à absorption améliorée et les résultats obtenus sous ces formes dans les produits disponibles sur le marché ont créé un buzz positif important à propos de la quercétine. La quercétine devrait atteindre un chiffre d’affaires annuel impressionnant de 1,6 milliard de dollars d’ici 2024. Découvrons maintenant les bienfaits de la quercétine et la manière de tirer le meilleur parti de ce précieux cadeau de la nature.
Commençons par le début. Les flavonoïdes et la vitamine C ont été découverts par Albert Szent-Györgyi (1893-1986), qui a reçu le prix Nobel en 1937 pour ses découvertes.
Szent-Györgyi a découvert les flavonoïdes en isolant la vitamine C des citrons. Un ami qui saignait des gencives avait réussi à arrêter les saignements en prenant une préparation de vitamine C brute isolée à partir de citrons. Lorsque le problème est réapparu, Szent-Györgyi a donné à son ami une forme plus pure de vitamine C. Il s’attendait à observer un résultat encore plus impressionnant, mais étonnamment, la forme plus raffinée de vitamine C n’a pas fonctionné. Szent-Györgyi a ensuite isolé la fraction flavonoïde de la préparation originale de vitamine C brute, l’a donnée à son ami et a observé une guérison complète.
L’extrait de flavonoïdes était plus efficace pour traiter l’un des signes significatifs d’une carence en vitamine C (saignement des gencives) que la vitamine C elle-même. En d’autres termes, les flavonoïdes, et non la substance active présumée (la vitamine C), étaient les véritables composés actifs des citrons. Szent-Györgyi a appelé sa découverte la « vitamine P » en raison de sa capacité à réduire la perméabilité vasculaire, l’une des caractéristiques du scorbut (carence grave en vitamine C).
Szent-Györgyi a ensuite démontré que les symptômes cliniques du scorbut sont le résultat d’une carence combinée en vitamine C et en vitamine P (flavonoïdes). Toutefois, comme les flavonoïdes ne pouvaient pas répondre à tous les besoins en vitamine D, le terme « vitamine P » a été abandonné. Bien que les flavonoïdes ne soient pas considérés comme des nutriments « essentiels » comme les vitamines, leur importance pour la santé humaine est égale à celle des vitamines et minéraux essentiels.
En plus d’aider la vitamine C à faire son travail, la quercétine augmente les niveaux intracellulaires de vitamine C. Elle a également de nombreux effets bénéfiques sur la perméabilité des capillaires et le flux sanguin, principalement en renforçant les cellules qui composent les capillaires (cellules endothéliales) et en améliorant les structures de collagène. Le collagène, la protéine la plus abondante du corps, est responsable de la conservation de l’intégrité du tissu conjonctif qui maintient les tissus ensemble en formant la « substance de base » et l’intégrité des tendons, des ligaments et du cartilage.
La quercétine est très importante pour la santé des poumons. Le tissu pulmonaire est composé uniquement de cellules de la paroi pulmonaire (cellules épithéliales), de petits vaisseaux sanguins constitués de cellules endothéliales et de tissu conjonctif riche en collagène. La structure, la fonction et l’intégrité des tissus pulmonaires dépendent de façon vitale de la vitamine C et des flavonoïdes, comme la quercétine. Les flavonoïdes en général, et la quercétine en particulier, affectent le collagène de plusieurs manières :
Ces bienfaits sur le collagène et les capillaires font de la quercétine et autres flavonoïdes des éléments particulièrement bénéfiques à pratiquement tous les tissus du corps, et pas seulement les poumons.
Bien que la quercétine a montré certains effets antioxydants directs dans des essais précliniques, il est peu probable que cela se produise de manière significative dans le corps humain. 5,6 Un autre mécanisme est responsable de son impact puissant dans la protection des cellules contre les dommages oxydatifs. Une fois absorbée par l’organisme et les cellules individuelles, la quercétine active un composé cellulaire connu sous le nom de Nrf2. Ce composé, à son tour, orchestre un réseau de régulation complexe qui influence le métabolisme, l’inflammation, la production d’énergie dans les cellules et les réponses immunitaires.
Il est intéressant de noter que Nrf2 a été décrit comme le « gardien de la longévité », car il protège la cellule contre les dommages, le vieillissement et les dysfonctionnements. La quercétine augmente Nrf2 et l’aide à améliorer la santé cellulaire, notamment grâce à sa capacité d’augmenter les mécanismes antioxydants.
D’une manière générale, la quercétine aide les cellules à mieux fonctionner. Elle produit de nombreux effets bénéfiques, notamment grâce à sa capacité à préserver et à restaurer la fonction des mitochondries (le compartiment des cellules qui produit l’énergie).7 En augmentant la production d’énergie, la cellule peut fonctionner de manière plus optimale et s’autoréguler correctement.
En améliorant la fonction mitochondriale, la quercétine peut s’attaquer à l’un des facteurs critiques associés au processus de vieillissement : la diminution de la fonction mitochondriale. Dans le cerveau, la fonction mitochondriale est comme un gradateur d’intensité. Lorsque les mitochondries produisent suffisamment d’énergie, notre cerveau est pleinement lumineux, mais si la fonction mitochondriale est insuffisante, elle baisse le gradateur d’intensité, ce qui nous rend distrait et nous met dans la brume.
Les effets de la quercétine sur la fonction mitochondriale sont à l’origine des résultats positifs observés dans plusieurs études sur l’amélioration des performances mentales/physiques chez les athlètes.8 Cependant, l’impact global de la poudre de quercétine ordinaire sur les performances athlétiques n’était pas si significatif.9 En revanche, des résultats plus significatifs ont été observés avec une forme de quercétine présentant une absorption accrue. Plus précisément, dans une étude menée sur des triathlètes, il a été démontré que le Phytosome® de quercétine, à raison de 250 mg deux fois par jour, ce qui représente une dose quotidienne totale de 200 mg de quercétine, améliorait la durée de performance et réduisait les douleurs musculaires post-exercice, les crampes et le temps de récupération.10 Ces avantages ont été attribués à la capacité de la quercétine à réduire de manière significative le stress oxydatif et à empêcher la rupture des globules rouges (hémolyse). La durée de performance au bout de 14 jours de prise de Phytosome® de quercétine a augmenté de 10,6 % contre 2,4 % dans le groupe témoin.
Avant que l’accent ne soit mis récemment sur l’amélioration de la santé immunitaire, la quercétine était le plus souvent utilisée pour améliorer les mécanismes anti-allergiques. Un nombre considérable de recherches montre que la quercétine inhibe à la fois la fabrication et la libération de l’histamine et d’autres médiateurs chimiques des allergies libérés par les globules blancs appelés mastocytes et basophiles.11
Les mastocytes sont largement répartis dans l’ensemble du corps humain, mais ils sont présents en plus grande concentration juste au-dessous des cellules qui tapissent les voies respiratoires, le tractus gastro-intestinal et la peau. Les basophiles circulent dans le sang.
Des études précliniques sur la quercétine montrent une amélioration de la structure et de la fonction des mastocytes et des basophiles, ce qui les rend moins réactifs aux stimuli. La quercétine bloque également la fabrication excessive d’histamine et d’autres médiateurs chimiques.11
La quercétine et une forme modifiée, l’EMIQ (isoqueritrine modifiée par voie enzymatique), ont des effets bénéfiques pour les personnes souffrant de réactions allergiques saisonnières.11,12 Cependant, une fois de plus, ces avantages sont dérisoires par rapport à l’utilisation du Phytosome® de quercétine, une forme améliorée de quercétine avec une meilleure biodisponibilité.
Une étude menée en Italie a montré que l’administration de Quercétine Phytosome® à des sujets sains bloquait la libération d’histamine lors du test de provocation à l’histamine. Cela a conduit les chercheurs à étudier la Quercétine Phytosome® auprès de 58 sujets testés souffrant d’allergies nasales et des voies respiratoires. Tous les sujets ont poursuivi leur traitement médical standard. On leur a administré soit 500 mg, soit 250 mg, soit aucun Phytosome® de Quercétine. Les résultats ont clairement montré que la Quercétine Phytosome® contribuait à améliorer la fonction respiratoire, l’irritation nasale et le statut antioxydant dans le sang. Elle a également entraîné une diminution de l’utilisation d’inhalateurs, de gouttes nasales et d’autres médicaments.13
L’activité antivirale de la quercétine, qui bloque l’entrée du virus dans les cellules humaines ou inhibe la capacité du virus à se répliquer, suscite actuellement beaucoup d’intérêt. Le blocage de l’entrée des cellules est tout aussi crucial que l’inhibition de la réplication, car l’entrée virale est une étape nécessaire à l’infection virale. La quercétine semble avoir une action excellente contre les virus des voies respiratoires. En bloquant l’entrée, la quercétine bloque l’infection.1
La quercétine renforce également les effets antiviraux du zinc ionique. Lorsque le zinc n’est pas lié à d’autres molécules à l’état d’ion libre, il exerce une action significative en bloquant la réplication des virus. Il y parvient en inhibant une enzyme produite par le virus, la réplicase. Cette enzyme est utilisée par un virus pour se reproduire à l’intérieur des cellules humaines. La quercétine agit comme un ionophore du zinc. Elle crée un canal dans la paroi cellulaire qui permet au zinc ionique libre de pénétrer dans la cellule infectée et de bloquer la réplication virale.15
En matière d’effets antiviraux directs, la quercétine inhibe plusieurs enzymes dont un virus a besoin pour se répliquer. L’administration en parallèle de vitamine C donne de meilleurs résultats et, dans certains cas, est indispensable aux effets antiviraux de la quercétine.16 La vitamine C est également capable de régénérer la quercétine active dans l’organisme. Dès qu’un antioxydant exerce sa fonction de neutralisation d’un radical libre, il devient inactif. Dans le cas de la quercétine, la vitamine C peut la recycler en sa forme active. Par conséquent, les niveaux de vitamine C dans l’alimentation et la supplémentation doivent être adéquats.
La quercétine (et la vitamine C) favorise également la production d’interféron. Si vous vous souvenez, l’interféron est l’agent antiviral de l’organisme libéré par les globules blancs (leucocytes) pour combattre les infections virales. La quercétine renforce d’autres effets des leucocytes, notamment leur capacité à se déplacer vers les zones d’infection, à tuer les organismes infectés et à augmenter le nombre de leucocytes en cas de besoin.
Francesco Di Pierro, MD, Ph.D., un expert mondial en immunologie et microbiologie, a mené deux études cliniques avec une forme améliorée de quercétine (Phytosome® de quercétine) dans les premiers stades d’une infection virale aiguë des voies respiratoires.17,18
Dans la première étude, 152 personnes présentant des symptômes légers à modérés d’une infection des voies respiratoires supérieures ont reçu un traitement standard seul ou un traitement standard plus 500 mg de Phytosome® de quercétine (fournissant 200 mg de quercétine) deux fois par jour pendant 30 jours. Les résultats ont été très positifs. Alors que 28,9 % des personnes du groupe de soins standard ont dû être hospitalisées, seules 9,2 % des personnes du groupe quercétine ont dû être hospitalisées. Cette différence signifie que la quercétine a réduit le taux d’hospitalisation de 68 %. En outre, la durée d’hospitalisation des sujets prenant de la quercétine a été beaucoup plus court. Dans le groupe recevant les soins standard, la durée moyenne d’hospitalisation était de 6,77 jours, contre seulement 1,57 jour dans le groupe quercétine. De plus, alors que 10,5 % des membres du groupe recevant les soins standard ont vu leur état évoluer vers un état très grave qui a nécessité une admission en soins intensifs et que trois d’entre eux sont décédés, aucune personne sous quercétine n’a dû aller en soins intensifs et aucune n’est décédée.
Dans une deuxième étude, 42 personnes présentant des symptômes légers à modérés d’une infection des voies respiratoires supérieures ont été traitées par les soins standard seuls ou par les soins standard plus 500 mg de Phytosome® de quercétine (fournissant 200 mg de quercétine) trois fois par jour pendant la première semaine et deux fois par jour pendant la deuxième. Au bout d’une semaine, deux personnes du groupe de soins standard ont été testées négatives, et quatre ont vu une amélioration partielle de leurs symptômes. Dans le groupe quercétine, 16 ont été testés négatives, et 12 ont vu une amélioration partielle de tous leurs symptômes.
Comme pour la curcumine, les études montrent que la prise régulière de poudre de quercétine a des effets bénéfiques. Mais les résultats des essais cliniques réalisés avec le Phytosome® de quercétine indiquent que les formes mieux absorbées améliorent la qualité et le taux des niveaux sanguins. Et cela se traduit par des résultats supérieurs. Les résultats des études utilisant des formes améliorées de quercétine ont stimulé les ventes de quercétine sur le marché.
Deux options sont disponibles à la vente.
Les essais cliniques ont été réalisés avec le Phytosome® de quercétine. Cependant, une étude d’absorption détaillée a montré que 500 mg de quercétine sous forme de Quercetin LipoMicel Matrix™ produisait une absorption totale égale. Toutefois, des niveaux maximum supérieurs de 500 mg de quercétine ont été obtenus à ceux obtenus avec le Phytosome® de quercétine.19 Lorsque les formes présentent les mêmes taux sanguins, elles sont qualifiées de « bioéquivalentes. »
Si l’on s’intéresse à ce que représentent 500 mg de quercétine de ces deux formes améliorées en poudre de quercétine ordinaire, il s’agit d’au moins d’un facteur d’absorption 10 fois plus avantageux pour le Phytosome® de quercétine et le Quercetin LipoMicel Matrix™.19,20 Ainsi, 500 mg de quercétine réelle se traduisent par environ 5 000 mg de poudre de quercétine pour l’une ou l’autre des formes améliorées.
Pour ce qui est de la comparaison pratique entre le Phytosome® de quercétine et le Quercetin LipoMicel Matrix™, il faut faire quelques calculs pour déterminer le dosage (et le coût) entre les deux formes puisque la teneur réelle en quercétine représente 40 % de la quantité totale de Phytosome® de quercétine. Dans le même temps, elle est exprimée comme la teneur réelle en quercétine avec le Quercetin LipoMicel Matrix™. Pour illustrer cette différence, on peut dire qu’une gélule de 250 mg de Phytosome® de quercétine fournit 100 mg de quercétine. En revanche, le Quercetin LipoMicel Matrix™ contient 250 mg de quercétine par capsule.
Les études menées avec le Phytosome® de quercétine au cours d’une infection virale aiguë ont utilisé un dosage de 500 mg (fournissant 200 mg de quercétine) deux à trois fois par jour. Pour traduire ce dosage sous la forme de Quercetin LipoMicel Matrix™, étant donné que chaque gélule contient 250 mg de quercétine, la posologie serait d’une gélule de 250 mg deux à trois fois par jour. Là encore, 500 mg de quercétine provenant de l’une ou l’autre forme avancée équivaudraient à au moins 5 000 mg de poudre de quercétine ordinaire.
Références :
